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Extrait presse

MAGNIFICAT[S]

« Il était une fois une grande dame de la musique qui jouait les fées avec ou sans baguette…Ainsi pourrait débuter l’histoire de la prestation de Laurence Equilbey à la tête d’une trinité d’interprètes de haut vol »

« Après l’entracte, le Magnificat de Carl Philipp Emanuel Bach, conduit vers l’allégresse en conjuguant profondeur et flamboyance»

« Son corps tout entier favorise la naissance du son. Magique. Comme la sortie des auditeurs qui fredonnent l’Alleluia de Buxtehude donné en bis ».

Pierre Gervasoni,

Le Monde, 29/08/2015

 

 » Après 24 ans d’existence, ce chœur continue à nous délecter par l’originalité de son répertoire et la qualité de ses interprétations. Le concert fut dans la continuité de ce qui a précédemment été entendu en ces mêmes lieux. Un bonheur partagé si on en juge par la longue ovation réservée aux artistes à l’issu de plusieurs rappels »

« Sous la direction très précise de Laurence Equilbey, la partition s’incarne avec une expression magnifiée, entre profondeur et subtilité, pour en exprimer toute la puissance divine. L’articulation irréprochable des parties chorales et solistes est ainsi marquée par des ‘décrochages’ émouvants (Confitebor, Laudate Pueri) dont l’intensité dramatique ne fait qu’amplifier la beauté des tessitures »

Florence Michel,

Res Musica, 30/09/2015

 

« Un vrai cadeau, car si elles font partie des « tops » du répertoire sacré, ces deux compositions ne sont pas souvent à l’affiche. »

« L’occasion pour Laurence Equilbey et ses troupes de se montrer très généreuses, offrant une composition, parfaitement mises en valeur par les interprètes, allaient hisser cette soirée « inaugurale » de la saison au niveau de celles dont on se souviendra »

«Un chœur qui se joue des difficultés »

Michel Egea,

Destimed, 28/09/2015

 

« Au final, tous ont respecté la consigne. Le chœur a employé un latin franco-autrichien tout en douceur, émulé par tous les solistes, à la surprenante exception du ténor néerlandais Reinoud van Mechelen, dont les plosives (« qFia fecit ») sont parties telles des flèches vers le fond de la salle. »

« Ainsi, le stile antico du « Et misericordia » a été une véritable pâte à modeler entre les doigts de Laurence Equilbey, et le chœur et l’orchestre ont fait preuve d’une rigueur sans faille »

Peter Quantrill,

The Arts Desk, 22/09/2015

 

« La chef Laurence Equilbey, d’une exigence musicale toujours au sommet, offrit à la salle enthousiaste deux bis : le léger Alleluia de Buxtehude et le profond Miserere de Zelenka ; deux offrandes musicales délicieuses pour clore une soirée de début de saison remarquable.  »

Christophe Floquet,

Journal Zibeline, Octobre 2015

 

« (…) en ouverture, le Magnificat était imbu d’une impressionnante énergie et dynamisme, entendus déjà chez Zelenka, avec l’urgence initiale du Miserere, dans l’adaptation tripartite, impressionnante et agréablement excentrique du compositeur. Wolf, remarquable, a estampillé son Fecit potentiam d’une autorité splendide, tandis que Pokupić a fait preuve d’une sensibilité merveilleuse dans Suscepit Israel. »

« C’est avec Mozart qu’Equilbey a été vraiment éclatante, confirmant aussitôt l’impression donnée par son enregistrement du Requiem : Equilbey serait en effet cette ‘bête rare’, une Mozartienne née ! Absence de maniérisme, tempi et l’équilibre parfaitement maîtrisés, côtés chœur et orchestre, associés à une exécution instrumentale et un chant choral superbes et un panel de solistes de choix,… tout a contribué à une performance de l’œuvre que l’on aurait du mal à surpasser. Laudate pueri a été remarquable pour la clarté d’exposition de la texture contrapuntique, tandis que Judith van Wanroij a façonné son Laudate Dominum avec un goût exquis et une absence de sentimentalisme, soutenus par la sensibilité d’Equilbey à la baguette. Laurence Equilbey reviendra avec ses troupes le 21 septembre pour donner le même programme au Barbican Centre. Un must pour les mélomanes londoniens. »

Brian Robins,

earlymusicreview.com, 1 Septembre 2015