• Le blog

Extrait presse

Mozartwoche

« Le chœur articula extrêmement bien, mettant parfaitement en œuvre sa partie et déclamant de façon très intelligible. La reprise volontaire sur la fugue de l’Amen, après le court passage toujours émouvant consacré aux souffrances et à l’ensevelissement de Jésus, de la phrase «Credo in unum Deum» fit son effet. »

« Mais qui peut bien résister à l’invocation par la soprane de L’Agneau de Dieu ? Surtout quand l’interprétation de l’Agnus Dei vient du fond de l’être comme c’est le cas chez la chanteuse Julie Fuchs. En sa personne, en celles de la sensible Mezzo Marianne Crebassa, du ténor Benjamin Hulett à la voix très souple, et de Johannes Weiser ; basse à l’articulation mélodieuse, il y avait là un quartet de solistes presque insurpassable pour ce genre de composition. »

« Dans cette pièce, Insula orchestra, plus étoffé, jouant sur des instruments d’époque, exploita tous ses atouts. »

« [La 4° Symphonie de Schubert] est hautement dramatique : c’est ce que rappela Laurence Equilbey en adoptant une manière de diriger électrisante dès le début du premier allegro, dans un Adagio Molto quasi chaotique tant il est lourd de sens. Un même sentiment de désespérance caractérise aussi le final, grandiose, impressionnant par sa puissance. »

« Ce qui prévaut spécialement dans l’Andante, c’est la mélancolie typique à Schubert, exprimée ici avec une sensibilité et une beauté sonore prononcées.

Horst Reischenböck
Dreh Punkt Kultur, 2 février 2015

« L’œuvre a été servie par l’équilibre élaboré du choeur et de l’orchestre« .
F. Oberhummer
Salzburger Nachrichten, 3 février 2015