À partir des dernières ballades de Schumann, Laurence Equilbey construit une fresque musicale où le pouvoir et les passions côtoient meurtres et malédictions. Un spectacle envoûtant, mis en scène par Antonin Baudry.
Antonin Baudry, propos recueillis par Thierry Hillériteau
Je ne voulais pas me fondre dans les codes de la création lyrique traditionnelle. Laurence, elle, avait en tête ces ballades de Schumann qu’elle avait déjà dirigées il y a dix ans et qui mettent en scène l’affrontement entre le pouvoir de la musique et celui des politiques.
Romaric Hubert
Le chœur accentus se révèlera superbe de bout en bout. C’est à lui que revient le plus souvent le soin de commenter l’action, ce qu’il fait avec nuances, précision et un investissement de tous les instants.
Olyrix
Omniprésente, la vidéo s’intègre à merveille au spectacle en suivant la dramaturgie et en épousant les mouvements vibratoires et miroitants de la musique.
Patrick Scemama
Laurence Equilbey dirige, avec sensibilité et fraîcheur, ces œuvres qui font souvent penser à Weber et au Wagner de Lohengrin. À la tête de son Insula orchestra, elle fait de la soirée une sorte de grand songe, les pièces s’enchaînent sans interruption. Le chœur accentus est pour beaucoup dans le moelleux et la finesse de la ligne musicale, avec toute une palette de nuances dans les différentes interventions.
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