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Revue de presse

Der Freischütz de Weber

« Laurence Equilbey (également à l’origine du projet) dirige son ensemble Insula orchestra. Dès l’ouverture, les sonorités des instruments anciens rappellent combien l’orchestre est un protagoniste de l’opéra. Les registres graves des vents qu’affectionnait Weber sont soignés ainsi que les alliages de timbres tout aussi novateurs en ce début du XIXèmesiècle. La direction de la cheffe est toujours précise aussi bien vis-à-vis de ses musiciens que des chanteurs de son chœur accentus (à l’aise dans les voix irréelles comme les passages joués et parlés du Singspiel). »
Véronique Boudier, Olyrix, 4 mars 2019

« L’Insula orchestra ne manque pas, lui, de couleurs ni de contrastes. L’orchestre se surpasse sous la direction éclatante de sa cheffe Laurence Equilbey. Son Freischütz est plein de densité, de vitalité, de jaillissements ardents dans la scène centrale de la Gorge aux loups. »
Christophe Candoni, Sceneweb, 5 mars 2019

« Sous la direction précise et attentive de Laurence Equilbey, les instruments d’époque font merveille pour servir une partition, on l’a dit, des plus intéressantes. Cordes de velours, bois subtils et aériens, cors puissants et colorés : la directrice musicale, qui affectionne et connaît particulièrement cette œuvre, permet aux musiciens de donner le meilleur. »
Michel Egea, Destimed, 9 mars 2019

« L’orchestre répondait à chaque subtilité de la direction de Laurence Equilbey. La performance sur instruments d’époque est absolument inouïe.»
Colin Clarke, Seen and Heard International, 12 mars 2019

« Puisqu’il est question de magie dans le Freischütz, Laurence Equilbey a eu l’idée de faire appel à la Compagnie 14:20, une compagnie de danse, magie et jonglerie, pour signer une mise en scène sortant résolument des sentiers battus. […] Musicalement, on s’enivrera des chaudes sonorités de l’orchestre et la qualité des chœurs. »
N.B, La Libre Belgique, 14 mars 2019

 

CD Beethoven, Concertos pour piano n°4 et 5

« Entre la poésie des sons, le raffinement du pianiste et la justesse des équilibres, ce Beethoven roboratif prend, avec un ton plus romantique, la place référentielle […] parmi les concertos joués dans des teintes et proportions ‘à l’ancienne’ ».
Christophe Huss, Le Devoir, 11 janvier 2019

« Grâce au toucher léger et flexible de Laurence Equilbey, le piano et l’orchestre semblent parfois ne former qu’une seule entité ; […] le Concerto tout entier est plein de charme. »
Michael Church, BBC Music Magazine, janvier 2019

« Comme le montrent l’orchestre et son chef, la recherche d’une vérité historique n’a rien d’incompatible avec celle d’une riche palette expressive. »
« Telle est l’intensité forgée par Laurence Equilbey. »
Melissa Khong, Classica, novembre 2018

« L’instrument [le piano Pleyel] a des sonorités douces mais il ne manque pas de puissance pour autant ; ses timbres raffinés, cristallins et sans dureté, s’accordent à ceux à peine plus acidulés d’Insula orchestra, ouvrant ainsi la voie à une interprétation homogène et originale. »
« Une lecture pleine de tendresse, légère et insaisissable. »
Jérôme Bastianelli, Diapason, novembre 2018

 

La Création à New York (Lincoln Center)

« Mme Equilbey a révélé un jeu agile et d’un naturel impressionnant de l’excellent orchestre. Et le grand chœur de louanges final, une fugue vibrante, n’aurait pu mieux sonner. »
Anthony Tommasini, The New York Times, 20 juillet 2018

« Cette production est l’illustration de l’approche individuelle volontaire de Mme Equilbey pour diriger son orchestre, l’ensemble en résidence à La Seine Musicale [...]. Elle s’est fait un nom en s’embarquant avec ténacité dans des projets aussi inhabituels que « La Création », englobant la technologie, et en programmant des répertoires délaissés, en particulier les œuvres de compositrices. »
Roslyn Sulcas, The New York Times, 18 juillet 2018

« L’ensemble sur instruments d’époque Insula orchestra, dirigé par Laurence Equilbey, a montré une clarté et une précision rythmique dans les grandes sections de l’œuvre […]. Les solos instrumentaux, en particulier celui de la flûte représentant le chant du rossignol, étaient ravissants. Le bon chœur accentus s’est présenté sous son meilleur jour lorsqu’il était sur le devant de la scène. »
Heidi Waleson, The Wall Street Journal, 23 juillet 2018

« Laurence Equilbey, une chef d’orchestre puissamment intellectuelle, avec une connaissance approfondie de la nature psychologique de la musique, sait clairement comment répéter et modeler une performance. Elle est la fondatrice de l’ensemble sur instruments d’époque Insula orchestra et du chœur de chambre accentus. Elle parvient brillamment à souligner l’aspect spirituel de la musique d’Haydn. »
« L’Insula orchestra de Laurence Equilbey joue merveilleusement, avec un son riche, et se passe bien du maniérisme et de la rigidité qui peut parfois peser sur les ensembles sur instruments d’époque. »
Brian Taylor, ZealNyc, 23 juillet 2018

 

La Nonne Sanglante

« Dans la fosse, Laurence Equilbey sait conjuguer souplesse et énergie pour obtenir de l’Insula orchestra un engagement exemplaire. »
Pierre Gervasoni, Le Monde, 4 juin 2018

« Chœur accentus très bien préparé, orchestre Insula vigoureux [...], direction à poigne de Laurence Equilbey : il n’en fallait pas plus pour réveiller les morts ! »
Philippe Venturini, Les Echos, 5 juin 2018

« [La Nonne sanglante] a une puissance surprenante et a eu un impact certain dans cette production à l’Opéra Comique. Une distribution de premier ordre a été menée avec une éloquence éblouissante par le ténor américain Michael Spyres. [...] La chef d’orchestre Laurence Equilbey est tout aussi impressionnante, avec son ensemble sur instruments d’époque Insula qui apparait comme une présence chaleureuse, réactive, dans la fosse d’orchestre. »
Michael White, Catholic Herald, 15 juin 2018 

« Equilbey et Insula orchestra ont fait preuve de profondeur et de richesse, dessinant des entailles sonores rouges dans les monochromes de Bobée, et contrebalançant la brillance exaltante et l’agilité du ténor Michael Spyres par une sonorité́ consistante. »
Alexandra Coghan, The Arts Desk, 24 juin 2018

« Dans la fosse, Insula orchestra et sa directrice Laurence Equilbey font vivre la partition orchestrale avec une acuité́ et une énergie qui maintiennent la tension et l’émotion de la première à la dernière note. La palette de couleurs, d’une grande richesse, reçoit un rendu somptueux, sublimé par les instruments d’époque. »
Jean-Marc Piriou, Bachtrack, 9 juin 2018

« Pour l’Opéra Comique, David Bobée et Laurence Equilbey en livrent une version exquise, fraîche et vivifiante. »
Sylvain Merle, Le Parisien, 10 juin 2018

 

Beethoven | Farrenc

« La partition [de la 3e Symphonie de Farrenc] est si bien écrite qu’elle mérite une place de choix dans l’histoire des premières symphonies romantiques. Laurence Equilbey et Insula orchestra en ont donné une fougueuse et excellente version. »
Richard Fairman, The Financial Times, 10 mars 2018 ☆☆☆☆

« Ce qui frappa à la vue de ce concert donné au Grand Théâtre de Provence, ce fut la joie qui irradiait du visage de Laurence Equilbey et la plénitude avec laquelle elle a dirigé son Insula orchestra. Alors qu’elle a redit tout le soin mis à saluer la musique de cette femme trop méconnue, la cheffe avec une précision assez rare a forcé l’adhésion du public, très satisfait de découvrir cette symphonie qui selon Laurence Equilbey « n’a rien à envier à Beethoven », et que l’on jugera intéressante. »
Jean-Rémi Barland, La Provence, 16 février 2018

« De très beaux moments de musique sont parfaitement mis en valeur par la direction souple et délicate de Laurence Equilbey qui fait jaillir toutes les nuances et les couleurs de la partition en exploitant les qualités des instrumentistes… et de leurs instruments. On ferme les yeux et on écoute… Transportés que nous sommes au beau milieu de ce 19e siècle si riche musicalement. »
Michel Egea, destimed.fr, 17 février 2018

« Equilbey, maîtresse de l’espace, dirige ses musiciens avec un talent rarement égalé. (…)
Trop de talent déborde de cet ensemble, et trop d’intelligence surtout, pour les laisser passer inaperçus. Et l’œuvre de Farrenc va, on l’espère, piquer la curiosité des auditeurs, et les inciter à partir à la découverte de beaucoup d’autres musiciennes et compositrices. »
Julius Lay, Bachtrack, 19 février 2018

 

CD Schubert – Nacht & Träume

« Equilbey rentre donc au cœur du répertoire avec précision pour puiser avec brio son essence profondément dramatique et théâtrale, et ce avec l’aide des vents boisés et des cordes lumineuses de l’Insula orchestra. »
Thomas Zingle, Classica, Mars 2018

« Magnifiquement interprété. »
Pierre Gervasoni, Le Monde, 22 décembre 2017

« Alors, certes, ce n’est pas la première fois qu’on enregistre au disque des orchestrations de ces lieder de Schubert, mais il me semble que l’album de Laurence Equilbey est l’un des plus réussis. »
Jean-François Zygel, La preuve par Z, France Inter, 13 janvier 2018

« Le son de l’enregistrement, velouté et précis, surligne à merveille à la fois les voix et la vivacité d’Insula orchestra. Je recommande vivement. »
Hugo Shirley, Gramophone, décembre 2017

“L’Insula orchestra déploie sa palette chaleureuse et colorée dans cet enregistrement intrigant et joliment imaginé. »
Natacha Loges, BBC Music Magazine, novembre 2017

« Coup de cœur absolu pour le disque de Laurence Equilbey, peut-être même le plus beau de tous ses disques. Ce disque est un miracle de bout en bout. »
Rodolphe Bruneau-Boulmier, En Pistes ! France Musique, 22 novembre 2017

« L’Insula orchestra montre qu’il est habitué à la précision et à la musique ancienne, ramenant Schubert vers le classicisme. Les passions sont mesurées, les mouvements sont nets, le rythme et les jeux sont précis. Cette précision clinique de la direction d’Equilbey s’entend au disque. La mise en place de chaque instrument et l’harmonie d’ensemble n’interdisent pas la finesse et une amplitude sonore ici très mesurée. »
Charles Arden, Olyrix, 10 décembre 2017

 

Les Ultimes

« Il suffit de se laisser porter sur l’Andante du deuxième mouvement [de la Symphonie N°41 de Mozart] pour que tout ce qu’il peut y avoir de minutieux, de ciselé dans l’attention à chaque pupitre vienne une architecture sonore et stylistique parfaitement pensée et dégager une immense poésie. »
« La neuvième de Schubert, ce long fleuve de musique sereine, laisse briller chaque diaprure, chaque reflet scintille. On devine chaque note, chaque détail, chaque relief. »
Patrick de Maria, La Marseillaise, 2 décembre 2017

« C’est une direction engagée, précise et puissante, fouillée et attentive qui a donné toute son épaisseur à cette symphonie. Depuis les accents d’outre-tombe du premier mouvement jusqu’à cette fugue finale qui caractérise la 41e de Mozart, c’est la vie de ce dernier qui a défilé au long de cette interprétation passionnée servie par ce son unique que possède désormais l’orchestre. »
Michel Egea, Destimed, 2 décembre 2017

 

Egmont

« Le souffle puissant de la patte beethovenienne s’inscrit dès la célèbre ouverture, Insula orchestra déployant une ferveur franche, une fureur viscérale. La baguette de Laurence Equilbey choisit d’affirmer des contrastes incisifs, mais tout de même savamment mesurés, complétés par un grand soin apporté au phrasé et au souffle de la ligne mélodique. »
Charlotte Saulneron-Saadou, ResMusica, 24 septembre 2017

« L’Insula orchestra déploie imperturbablement le climat grave et solennel de la partition tout en conservant une clarté lumineuse pour donner à entendre une élégiaque et victorieuse jubilation sonore.
« Les deux femmes [Laurence Equilbey et Séverine Chavrier] forment un duo qui ose interroger la capacité de l’art élitaire à réfléchir à un monde qui n’est pas nécessairement celui du public venu écouter la sublime musique de Beethoven. »
Christophe Candoni, Sceneweb.fr, 25 septembre 2017

 

Concerts d’inauguration de La Seine Musicale

« Pour l’heure, c’est Laurence Equilbey qui est aux manettes de la soirée. (…) Ce concert inaugural est à l’image de son projet. Moderne, inattendu, élégant. »
Thierry Hillériteau, Le Figaro, 24 avril 2017

« En termes de programmation et de présentation, les idées de Laurence Equilbey sont tout sauf insulaires. L’orchestre est un ensemble sur instruments d’époque, mais elle compense un répertoire limité par un élargissement dans les formes artistiques, avec des éléments empruntant au cinéma, au théâtre et à la danse dans les concerts. »
Richard Morrison, The Times, 24 avril 2017

« Le véritable maître de cérémonie est cependant une maîtresse : la chef d’orchestre Laurence Equilbey, fondatrice de l’Insula orchestra. (…) Laurence Equilbey a promis un programme surprise. C’est aussi un choix culotté : de longs extraits de La Finta Giardiniera, de Mozart, dans la version du Singspiel allemand, Die Gärtnerin aus Liebe, avec une brillante brochette de chanteurs français ».
Marie-Aude Roux, Le Monde, 27 avril 2017

« Laurence Equilbey, dont la direction gagne chaque jour en souplesse, dispose décidément d’une phalange de très haut niveau, qui lui permet, dans Der Freischütz des effets sonores d’une saisissante puissance théâtrale. »
Richard Martet, Opéra Magazine, mai 2017

« La chef a concocté un programme d’une rare saveur pour un concert inaugural (…). Classique et romantique, dans les gènes de cette encore jeune formation sur instruments anciens. »
Benoît Fauchet, Diapason, juin 2017

 

La Création

« La direction [de Laurence Equilbey] peut sembler parcimonieuse, mais elle est toujours très précise. Laurence Equilbey aime les tempi rapide, mais laisse toujours la place aux nuances, à l’atmosphère, aux variations. (…) Elle conserve entre les instruments et les voix un équilibre parfait, que ce soit pour le chœur ou les solistes ».
Reinhard Bembreck, Suddeutsche Zeitung, 18 Mai 2017

« Et quel plaisir musical ! Dirigé de manière vivante et précise par Laurence Equilbey, l’Insula orchestra restitue avec prodigalité le caractère richement évocateur de la musique de Haydn (…), et l’on se surprend à frissonner lorsque la lumière fait irruption, par un savant effet de crescendo, au milieu des flottements du Chaos. »
Sophie Bourdais, Télérama, 13 Mai 2017

« L’Insula orchestra a démontré qu’il est parvenu à une très vivante maturité. On doit cette ‘genèse’ symphonique qui ne s’est pas faite en sept jours, à la direction de Laurence Equilbey, qui sert avec intelligence cette musique à la fois intimiste et grandiose. Sens des couleurs, sensibilité dramaturgique, précision, son geste musical s’est assoupli, amplifié, démultiplié. »
Marie-Aude Roux, Le Monde, 16 mars 2017

« Les musiciens de l’Insula orchestra emmenés par leur chef Laurence Equilbey soulignent toutes les nuances de la partition avec une légèreté formelle propice à magnifier l’œuvre. Equilbey pour le coup en état de grâce offre une direction aérienne, jamais lourde qui illustre de manière très sonore l’influence de Carl Philip Emmanuel Bach sur l’écriture de Haydn. »
Jean-Rémi Barland, La Provence, 16 mars 2017

« On apprécie la direction toujours très maîtrisée, précise de Laurence Equilbey, les sonorités vives et colorées de l’Insula orchestra et la qualité sans reproche du chœur accentus. »
Patrick De Maria, La Marseillaise, 18 mars 2017

 

Coffret accentus – the a cappella Recordings, Naïve

« On doit sans doute à Laurence Equilbey, la fondatrice du Chœur Accentus en 1991, l’acte de (re)naissance en France de la musique chorale a cappella. En quelques décennies, l’entreprenante chef de chœur a non comblé un vide mais créé un engouement discographique et surtout révélé au public des pans entiers d’un répertoire jusqu’alors confidentiel de Poulenc, Richard Strauss et Rachmaninov.»
Marie-Aude Roux, Le Monde, 9 décembre 2016

 

Nuit et rêves

« Très beau concert Schubert par l’Insula Orchestra et Laurence Equilbey, avec une Inachevée comme on souhaiterait en entendre plus souvent. (…) La taille de la grande salle de l’Arsenal ne semble pas avoir été un frein à la lisibilité d’une interprétation toute en nuances, portée par une Laurence Equilbey en état de grâce.»
Pierre Degott, ResMusica, 7 novembre 2016

 

Heureux voyage

«Les cordes conversent d’une seule voix, presque la signature d’Insula Orchestra, car c’est une constante dans le jeu de l’ensemble. La direction de Laurence Equilbey semble, quant à elle, habitée et permet une créativité dans l’instant. »
Florence Michel, ResMusica, 18 octobre 2016

 

Lucio Silla

« Les personnages de Giunia et Celia sont servis en vocalises absolument dantesques »
« Soirée superbe en vérité où la direction impeccable et la dramaturgie inventive autant que sobre de Laurence Equilbey ont éclairé en permanence l’intrigue »
« 2h30 de musique sublime »
Jean-Rémi Barland, La Provence

« Tous chantent avec un professionnalisme et une technique qui forcent le respect. »
« On ne boudera pas non plus sa joie d’entendre un choeur aussi précis, compréhensible et attentif que le Jeune choeur de Paris pour les fins d’acte qui prennent ici toute leur vie. »
« Côté orchestre, Laurence Equilbey et son Insula Orchestra abordent cette oeuvre dans un style musclé qui était déjà celui de Marc Minkowski à Milan. Les tempi sont vifs et emportés sans être désordonnés, le drame très allant et les chanteurs parfaitement soutenus. »
Guillaume Saintagne, forumopera.com

« L’ensemble Insula Orchestra et sa directrice Laurence Equilbey sont admirables »
« Cette mise en espace fut une réussite et l’on en redemande ! »
« Bien mise en valeur par une mise en espace soignée, la distribution réunie pour l’occasion sous la direction de Laurence Equilbey a livré une performance aboutie. »
Damien Dutilleul, Olyrix.com

« Ce n’est pas pour rien que Laurence Equilbey se réfère à sa proximité d’avec Nikolaus Harnoncourt. »
« (Laurence Equilbey) déploie dans son oeuvre une incroyable diversité de couleurs, grâce aux instruments anciens du remarquable Insula Orchestra, et brûle pour la musique. La soirée s’achève sur une déferlante d’applaudissements. »
Ernst P. Strobl, Salzburger Nachrichten

« Avant le début du spectacle les spectateurs lisent une bande dessinée réalisée par un étudiant en BD pour Insula Orchestra, elle résume avec humour et légèreté l’histoire d’amour entre Cecilio et Giunia. »
« Laurence Equilbey dirige à mains nues, engagée comme toujours, elle rend le son léger, vif, sans perdre son orchestre, les chanteurs ou le jeune chœur de Paris qui fit merveille. »
« Les spectateurs adorent, des bravos, des applaudissements viennent ponctuer la majorité des airs, heureusement le cabotinage n’est pas au rendez-vous et la musique reprend vite. »
Bérénice Clerc, Toute la culture

» Une mise en espace originale et fort réussie signée Rita Cosentino, qui donne tout simplement, mais encore fallaitil y penser, une vie scénique à l’ouvrage qui totalise plus de deux heures et demi de musique, évitant la classique, et souvent soporifique, version concert »
» Laurence Equilbey avait décidé de s’adjoindre les services des membres du Jeune Choeur de Paris, un choix plus qu’excellent, cette formation faisant preuve de maîtrise, de précision et de puissance. »
« Avec cette production de Lucio Silla, le Grand Théâtre de Provence a vécu un nouveau moment exceptionnel. Personne ne s’en plaindra. »
Michel Egea, DestiMed

» La musique de Mozart s’affranchit ici des codes de l’étroit « corset baroque » pour nous faire entendre une pièce aboutie et autonome. Le plus fascinant dans la représentation de ce soir-là reste cependant la performance musicale de l’Orchestre Insula et de sa chef Laurence Equilbey. »
« La performance entière est merveilleusement conduite. »
« Rita Cosentino avait mis en scène la pièce de telle sorte que , pour une fois enfin, l’impression statique que l’on retrouve traditionnellement dans les représentations d’opéras disparaisse »
Herbert Hiess, evolver.at

 

Beethoven Héroïque

« C’était un concert spécial que celui donné au sein de l’Allgemeine Musikgesellschaft de Bâle (AMG) mercredi soir. Non pas en raison de la programmation, plutôt conventionnelle pour un concert classique – le 4e concerto pour piano et la troisième symphonie « Eroica » de Beethoven -, mais plutôt pour l’interprétation qui en fut donnée. »
« Laurence Equilbey et Insula orchestra se distinguent déjà par une clarté émouvante et une intensité de jeu particulières. »
« Surprenant et terriblement excitant pour l’esprit »
Verena Naegele, Basler Zeitung

« Une belle soirée où Beethoven a été servi avec humilité et un grand sens de la générosité »
Jean-Rémi Barland, La Provence

« La lecture est sensible et rigoureuse. Elle peut surprendre. Mais il suffit de suivre l’artiste sur ces voies personnelles pour pénétrer dans un univers de formes et de sons passionnant. Entre passion et retenue. »
D.M.P, La Marseillaise

« En quatre années de travail, Laurence Equilbey n’a pas eu de mal à imposer Insula orchestra au sein des meilleures formations jouant sur instruments d’époque »
« Ce son unique, ces couleurs, cette puissance maîtrisée ont fait merveille dans l’interprétation de la Symphonie éblouissants de musicalité et emplis de sentiments. »
« Nul doute que ce programme « héroïque » sera salué comme il se doit dans les jours qui arrivent et, notamment, à Paris le 8 mars où il sera donné à guichets fermés à la Philharmonie. »
Michel Egea, destimed.fr

 

Barock +

« En développant constamment une approche historique éclairée , la chef de choeur française Laurence Equilbey dirige l’excellent choeur et les solistes dans une performance de qualité exemplaire »
Harald Budweg, FAZ Rhein-Main-Zeitung, 29/12/2015

« Un chœur français qui célèbre une victoire allemande : signe d’amitié et de compréhension entre les peuples. Présentation d’œuvres rares. »
« Les hommes du choeur accentus en particulier [...] nous ravisses avec leurs voix vigoureuses et une prononciation allemande sans fautes. «
« Le HR-Sinfonieorchester était inspiré avec un son fin, sous la direction de la chef invitée »
Michael Dellith, Frankfurter Neue Presse, 19/12/2015

 

Orfeo ed Euridice

« Si vous voulez savoir comment transformer en deux heures une basilique en quasi-stade de foot et une journaliste dubitative en fan absolue, assistez à un récital de Franco Fagioli. »
Marie Aude Roux, Le Monde 17/09/2015

« Artistiquement comme techniquement, Laurence Equilbey est toujours en quête de perfection, très portée sur les nouvelles technologies, elle a toujours plusieurs projets à la fois qu’elle mène à bout avec succès. Une femme qui avance et n’a qu’une conviction : il ne faut jamais être sûr de rien. Une chose est sûre : cette version d’Orfeo est très réussie. Vous la trouvez chez Archiv Produktion, un label de Deutsche Grammophon. »
Charlotte Latour, Charlie Vanderkerkhove, RTL, 24/09/2015

« Aucune réserve en revanche sur l’Amore facétieuse d’Emmanuelle de Negri, ou sur l’Eurydice aux superbes teintes sombres de Malin Hartelius. »
Jérémie Bigorie, Classica, Octobre 2015

« Laurence Equilbey qui s’est illustré avec éclat dans le cadre du dernier Festival de la Chaise-Dieu avec « Les Vêpres solennelles d’un confesseur K.339 » de Mozart, récidive avec un enregistrement de toute beauté d’« Orphée et Eurydice » de Christoph Willibald Gluck paru chez Archiv. »
« Le trio talentueux est soutenu par Insula Orchestra et accentus que l’on ne présente plus. Tous sont placés sous la direction de l’élégante et très efficace Laurence Équilbey. La chef impose un tempo fort équilibré et une harmonie qui plane sur tout l’enregistrement. »
Christian Charrat, The Glam Attitude, 20/09/2015

« Deuuuuuuux Orphées et deux Eurydices pour le prix d’un Orfeo ed Euridice ! C’est ce que nous offre Laurence Equilbey dans son tout beau tout neuf enregistrement de l’opéra de Gluck »
Max Von Theis, Qobuz, 12/09/2015

 

Magnificat(s)

« Il était une fois une grande dame de la musique qui jouait les fées avec ou sans baguette…Ainsi pourrait débuter l’histoire de la prestation de Laurence Equilbey à la tête d’une trinité d’interprètes de haut vol »
« Après l’entracte, le Magnificat de Carl Philipp Emanuel Bach, conduit vers l’allégresse en conjuguant profondeur et flamboyance»
« Son corps tout entier favorise la naissance du son. Magique. Comme la sortie des auditeurs qui fredonnent l’Alleluia de Buxtehude donné en bis ».
Pierre Gervasoni, Le Monde, 29/08/2015

» Après 24 ans d’existence, ce chœur continue à nous délecter par l’originalité de son répertoire et la qualité de ses interprétations. Le concert fut dans la continuité de ce qui a précédemment été entendu en ces mêmes lieux. Un bonheur partagé si on en juge par la longue ovation réservée aux artistes à l’issu de plusieurs rappels »
« Sous la direction très précise de Laurence Equilbey, la partition s’incarne avec une expression magnifiée, entre profondeur et subtilité, pour en exprimer toute la puissance divine. L’articulation irréprochable des parties chorales et solistes est ainsi marquée par des ‘décrochages’ émouvants (Confitebor, Laudate Pueri) dont l’intensité dramatique ne fait qu’amplifier la beauté des tessitures »
Florence Michel, Res Musica, 30/09/2015

« Un vrai cadeau, car si elles font partie des « tops » du répertoire sacré, ces deux compositions ne sont pas souvent à l’affiche. »
« L’occasion pour Laurence Equilbey et ses troupes de se montrer très généreuses, offrant une composition, parfaitement mises en valeur par les interprètes, allaient hisser cette soirée « inaugurale » de la saison au niveau de celles dont on se souviendra »
«Un chœur qui se joue des difficultés »
Michel Egea, Destimed, 28/09/2015

« Au final, tous ont respecté la consigne. Le chœur a employé un latin franco-autrichien tout en douceur, émulé par tous les solistes, à la surprenante exception du ténor néerlandais Reinoud van Mechelen, dont les plosives (« qFia fecit ») sont parties telles des flèches vers le fond de la salle. »
« Ainsi, le stile antico du « Et misericordia » a été une véritable pâte à modeler entre les doigts de Laurence Equilbey, et le chœur et l’orchestre ont fait preuve d’une rigueur sans faille »
Peter Quantrill,The Arts Desk, 22/09/2015

« La chef Laurence Equilbey, d’une exigence musicale toujours au sommet, offrit à la salle enthousiaste deux bis : le léger Alleluia de Buxtehude et le profond Miserere de Zelenka ; deux offrandes musicales délicieuses pour clore une soirée de début de saison remarquable. »
Christophe Floquet, Journal Zibeline, Octobre 2015

« (…) en ouverture, le Magnificat était imbu d’une impressionnante énergie et dynamisme, entendus déjà chez Zelenka, avec l’urgence initiale du Miserere, dans l’adaptation tripartite, impressionnante et agréablement excentrique du compositeur. Wolf, remarquable, a estampillé son Fecit potentiam d’une autorité splendide, tandis que Pokupić a fait preuve d’une sensibilité merveilleuse dans Suscepit Israel. »
« C’est avec Mozart qu’Equilbey a été vraiment éclatante, confirmant aussitôt l’impression donnée par son enregistrement du Requiem : Equilbey serait en effet cette ‘bête rare’, une Mozartienne née ! Absence de maniérisme, tempi et l’équilibre parfaitement maîtrisés, côtés chœur et orchestre, associés à une exécution instrumentale et un chant choral superbes et un panel de solistes de choix,… tout a contribué à une performance de l’œuvre que l’on aurait du mal à surpasser. Laudate pueri a été remarquable pour la clarté d’exposition de la texture contrapuntique, tandis que Judith van Wanroij a façonné son Laudate Dominum avec un goût exquis et une absence de sentimentalisme, soutenus par la sensibilité d’Equilbey à la baguette. Laurence Equilbey reviendra avec ses troupes le 21 septembre pour donner le même programme au Barbican Centre. Un must pour les mélomanes londoniens. »
Brian Robins, earlymusicreview.com, 1 Septembre 2015

 

Orfeo ed Euridice

« Spectateurs en transe, des critiques de musique subjugués, des professionnels unanimes, des sourires partout (…) ».
« La chef d’accentus et d’Insula orchestra a offert une des plus belles versions de cet opéra de Gluck qui se puisse concevoir. À son crédit, une entrée dans l’œuvre relevant de l’empathie et de la compréhension intime de son caractère puissant autant que poétique. Une humilité extrême et une netteté dans la manière de faire s’accorder coeur et instruments et, surtout, d’accompagner les trois choristes ».
« Perfection absolue, notamment avec l’immense contre-ténor argentin Franco Fagioli ». « Franco Fagioli est au sommet ».
« À ses côtés, deux autres merveilles d’équilibre et de grâce. La soprano Malin Hartelius campe une Euridice empreinte de beauté et de grandeur. Quant à Emmanuelle de Negri elle impose une « Amore » terriblement humaine ».
Jean-Rémi Barland, La Provence, 20 avril 2015

« Autant le dire d’emblée, ce que nous avons entendu samedi soir était d’une beauté et d’une perfection rares. A commencer par la direction, pour le moins inspirée, de Laurence Equilbey qui, de concert en concert, affirme la maîtrise de sa direction d’orchestre tout en poursuivant dans le domaine d’excellence qui est le sien depuis des années, celui de directrice de chœur ».
» (…)Samedi, [Laurence Equilbey] a eu l’occasion de démontrer, une fois de plus, la dimension de son talent, parfois sautillant, toujours lumineux, en détaillant avec élégance les beautés d’une partition qui mérite une lecture attentive et passionnée tant elle est l’illustration parfaite du génie d’un compositeur qui s’appelait Gluck ».
« En un peu moins de trois ans, Laurence Equilbey a hissé Insula orchestra au niveau des meilleurs ensembles jouant sur instruments d’époque. Tous les pupitres sont beaux, depuis les cordes, soyeuses et colorées, jusqu’aux cuivres précis et puissants. Les vents sont mélodieux et chaleureux et l’ensemble obtient un son qui propose du volume, de la finesse et une patine séduisante. Quel beau travail ! »
« Quant au chœur, dire du bien de lui est redondant avec tout ce que nous avons pu écrire sur lui depuis des années. Ici aussi, précision et couleurs sont au rendez-vous. Quel travail sur la scène des furies, entre autres ! »
« Emmanuelle de Negri est un Amore qui, pour être espiègle, n’en est pas moins très présente. Une ligne de chant agréable, toute de délicatesse et de gaieté. Malin Hartelius, elle, est une Euridice de grande classe. Voix bien placée, précise, veloutée, elle donne vie à une héroïne entre vie et royaume des ombres, tellement belle, mais tellement féminine, aussi, dans sa quête amoureuse du regard de son Orfeo… Du grand art. Puis il y a le héros, (…) un contre-ténor exceptionnel, Franco Fagiolo, qui arrive à faire oublier, par sa ligne de chant, sa virtuosité et sa puissance, ceux qui l’ont précédé dans ce rôle ».
« Une énorme prestation saluée triomphalement par un public plus que conquis, totalement subjugué par ce qu’il venait de vivre. Un moment d’une intensité rare, exceptionnel ! »
Michel Egea, Destimed, 20 avril 2015

« Les trois solistes, Insula orchestra et accentus montrent une nouvelle fois leur bonheur d’être ensemble, de jouer et de donner à vivre l’histoire puissante et bouleversante d’Orfeo ed Euridice. Précision, solidité, souplesse, humanité et émotions sont au rendez-vous de chaque pupitre emporté par la baguette vive de la chef ».
« Laurence Equilbey avait placé la barre très haute en 2013 pour cette production et réussit encore à monter le niveau de plusieurs crans. L’orchestre toujours plus raffiné et subtile, les prouesses d’accentus et le choix excellent des partitions et des solistes donnent envie de partager cette œuvre ad lib ! »
Bérénice Clerc, Toute la Culture, 10 avril 2015.

 

Monde Nouveau

« En deux années, il a pris des couleurs, de la structure, a gagné en cohésion et offre une belle densité d’interprétation ».
« Cordes soyeuses, cuivres brillants mais sans excès, bois suaves et somptueux, Laurence Equilbey a profité de ces qualités pour livrer sa lecture ciselée de cette partition avec bonheur. Superbe ».
« Apprécié, aussi, ce bis délicat et heureux, la sérénade Ständchen de Schubert orchestrée par Offenbach. Fin de soirée paisible… Et appréciée ».
Michel Egea,Destimed, 20 mars 2015

 

Disque Le Désert

Opéra Magazine a récompensé le disque Le Désert d’un Diamant !
« Grâce au Palazzeto Bru Zane et à Laurence Equilbey, nous disposons enfin d’une version de référence pour ce qui demeure la partition la plus attachante de Félicien David ».
« (…) ce superbe enregistrement du Désert surclasse sans peine la seule version jusqu’alors disponible (…) ».
» (…) Laurence Equilbey imprime sa juste dimension à la partition, en lui insufflant vie et passion ».
« Cyrille Dubois – tout récemment couronné « Révélation Artiste Lyrique » aux Victoires de la musique classique, séduit par le raffinement de sa ligne vocale, ainsi que par l’expressivité de sa diction ».
José Pons, Opéra Magazine, mars 2015

« Musique extrêmement agréable à écouter ».
« C’est ravissant, remarquablement orchestré ».
« C’est vraiment un immense plaisir, c’est remarquablement dirigé par Laurence Equilbey, avec beaucoup de précision, beaucoup de ferveur. On entend cette ferveur dans l’orchestre, on l’entend dans le chœur accentus et c’est merveilleusement chanté par Cyrille Dubois qui mérite plus que jamais sa Révélation Artiste lyrique aux Victoires de la Musique Classique ».
Richard Martet
« C’est remarquablement bien fait par toutes les forces en présence. Zachary Wilder fait un chant du muezzin en arabe délicieux et exquis ».
« C’est intéressant d’exhumer cette œuvre aujourd’hui ».
Stéphane Grant
« Bonne surprise avec la redécouverte de l’œuvre, très bien servie ».
« Le chant du muezzin a un charme fou, Zachary Wilder le fait magnifiquement ».
« La bonne surprise, c’est également l’unité entre les forces en présence ».
Christian Merlin
« Un très beau disque découverte ».
Lionel Esparza
Émission « Le casque et l’enclume » de Lionel Esparza sur France Musique avec Richard Martet (Opéra Magazine), Christian Merlin (Le Figaro) et Stéphane Grant (France Musique).
Vendredi 27 février 2015 de 12h à 13h.
« Laurence Equilbey dirige aujourd’hui une exhumation [du Désert] aussi soignée qu’édifiante. Publiée chez Naïve, sous deux formats (avec ou sans récitant), interprétée par le chœur accentus et l’Orchestre de chambre de Paris, l’ode-symphonie de Félicien David prend toute sa mesure de saga orientale en cinémascope« .

Pierre Gervasoni, Le Monde, 27 février 2015.

« L’envoûtant voyage de Laurence Equilbey dans le Désert de Félicien David ».
« Initiale tenue des cordes façon Rheingold, déambulation méhariste alla Harold en Italie… les 45 minutes de l’oeuvre filent à toute allure, riches de mélodies que l’on a envie de réentendre ».
« De séduisants talents sont du voyage ».
« Zachary Wilder est la séduction même dans le Chant du muezzin ».
Jean-Luc Clairet, ResMusica, 23 mars 2015
« (…) l’impression générale est la même que celle laissée par le concert : on salue une fois de plus l’extrême raffinement de l’interprétation de Cyrille Dubois dans deux des morceaux réservés au ténor solo, Zachary Wilder se jouant des aigus de l’appel du muezzin ».
Laurent Bury, Forum Opéra, 17 février 2015

 

Mozartwoche

« Le chœur articula extrêmement bien, mettant parfaitement en œuvre sa partie et déclamant de façon très intelligible. La reprise volontaire sur la fugue de l’Amen, après le court passage toujours émouvant consacré aux souffrances et à l’ensevelissement de Jésus, de la phrase «Credo in unum Deum» fit son effet. »
« Mais qui peut bien résister à l’invocation par la soprane de L’Agneau de Dieu ? Surtout quand l’interprétation de l’Agnus Dei vient du fond de l’être comme c’est le cas chez la chanteuse Julie Fuchs. En sa personne, en celles de la sensible Mezzo Marianne Crebassa, du ténor Benjamin Hulett à la voix très souple, et de Johannes Weiser ; basse à l’articulation mélodieuse, il y avait là un quartet de solistes presque insurpassable pour ce genre de composition. »
« Dans cette pièce, Insula orchestra, plus étoffé, jouant sur des instruments d’époque, exploita tous ses atouts. »
« [La 4° Symphonie de Schubert] est hautement dramatique : c’est ce que rappela Laurence Equilbey en adoptant une manière de diriger électrisante dès le début du premier allegro, dans un Adagio Molto quasi chaotique tant il est lourd de sens. Un même sentiment de désespérance caractérise aussi le final, grandiose, impressionnant par sa puissance. »
« Ce qui prévaut spécialement dans l’Andante, c’est la mélancolie typique à Schubert, exprimée ici avec une sensibilité et une beauté sonore prononcées.
Horst Reischenböck, Dreh Punkt Kultur, 2 février 2015

« L’œuvre a été servie par l’équilibre élaboré du choeur et de l’orchestre« .
F. Oberhummer, Salzburger Nachrichten, 3 février 2015